La taxe foncière, cet impôt local incontournable, suscite souvent des interrogations. Le montant moyen de la taxe foncière a connu une augmentation de 3,4% en 2023 selon l’UNPI (Union Nationale des Propriétaires Immobiliers). Il existe aussi des situations où, exceptionnellement, un locataire peut être redevable de cet impôt.
La taxe foncière, ou impôt foncier, est une contribution locale annuelle prélevée sur les propriétés bâties et non bâties. Elle permet aux collectivités locales de financer une large gamme de services publics, allant de l’entretien des routes à la gestion des écoles. Comprendre qui est redevable de cet impôt, les cas particuliers et les exonérations possibles est essentiel pour tout propriétaire ou investisseur immobilier. L’objectif de cet article est de vous fournir une information claire, précise et accessible pour vous aider à y voir plus clair. Nous allons explorer le principe général, les exceptions, les cas de démembrement de propriété, les exonérations et la procédure de contestation.
Le principe général : le propriétaire est le redevable
En règle générale, le propriétaire est la personne désignée comme redevable de la taxe foncière. Cette section explore en détail la définition du propriétaire, les différents types de biens concernés par cet impôt et la date de référence qui détermine qui est redevable. Nous aborderons également les spécificités liées au transfert de propriété et à la répartition de la contribution foncière lors d’une vente.
Définition du propriétaire
Le propriétaire en titre est la personne dont le nom figure sur l’acte de propriété du bien immobilier. Il est celui qui possède le droit de propriété complet sur le bien. Cependant, la situation peut se complexifier en cas de démembrement de propriété, où l’usufruit et la nue-propriété sont séparés (nous y reviendrons plus loin). Dans le cas d’une indivision, par exemple lors d’un héritage, plusieurs personnes sont propriétaires du même bien. Si un bien est hérité par trois personnes, chacune possède une part indivise de ce bien, et la taxe foncière est due solidairement par l’ensemble des héritiers.
Types de biens concernés
La taxe foncière se divise en deux catégories principales : la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) et la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB). La TFPB concerne les constructions fixes et permanentes, telles que les maisons, les appartements, les immeubles et leurs dépendances. Sont également concernées les constructions légères fiscalement assimilées à des constructions, comme les piscines ou les vérandas. La TFPNB s’applique aux terrains agricoles, aux bois, aux terrains constructibles et aux carrières. La TFPB représente environ 85% des recettes de taxe foncière collectées par les communes, selon la DGCL (Direction Générale des Collectivités Locales).
Date de référence
La situation au 1er janvier de l’année d’imposition est déterminante pour identifier le redevable de la contribution foncière. Concrètement, si vous êtes propriétaire d’un bien au 1er janvier, vous êtes redevable de la taxe foncière pour l’année entière, même si vous vendez le bien plus tard dans l’année. Cette date est donc cruciale et doit être prise en compte lors de toute transaction immobilière. Les impôts locaux, dont la taxe foncière, représentent environ 40% du budget des collectivités locales, selon la Cour des Comptes.
Transfert de propriété et taxe foncière
Lors d’une vente immobilière, la taxe foncière est généralement répartie entre le vendeur et l’acheteur selon le principe du *prorata temporis*. Cela signifie que chacun paie la taxe foncière pour la période durant laquelle il a été propriétaire du bien. Par exemple, si la vente a lieu le 1er juillet, le vendeur paiera la taxe foncière pour les six premiers mois de l’année, et l’acheteur pour les six derniers. Il est également possible d’inclure une clause contractuelle stipulant une autre répartition. Il est donc crucial de lire attentivement l’acte de vente pour comprendre les modalités de répartition de la contribution foncière. L’administration fiscale se base sur l’acte de vente pour déterminer le redevable légal, quelles que soient les clauses entre particuliers.
Les exceptions et cas particuliers : qui d’autre peut être concerné ?
Si le principe général est clair, il existe des exceptions et des cas particuliers où une personne autre que le propriétaire peut être redevable de la taxe foncière. Examinons de plus près ces situations spécifiques, notamment le cas du locataire en bail emphytéotique, les Sociétés Civiles Immobilières (SCI), les concubins et les communautés indivises (héritage).
Le locataire (rare mais possible)
Dans la grande majorité des situations, le locataire n’est pas redevable de la taxe foncière. Cependant, il existe une exception notable : le bail emphytéotique. Un bail emphytéotique est un bail de longue durée, généralement compris entre 18 et 99 ans, qui confère au locataire des droits réels sur le bien. En contrepartie de ces droits, le locataire devient redevable de la taxe foncière pendant toute la durée du bail. Il est donc primordial pour un locataire potentiel de bien comprendre les termes d’un bail emphytéotique avant de s’engager. Un avocat spécialisé en droit immobilier peut apporter des éclaircissements sur ce type de bail, et vous aider à comprendre les implications financières.
Les sociétés civiles immobilières (SCI)
Lorsqu’un bien immobilier est détenu par une Société Civile Immobilière (SCI), c’est la SCI elle-même qui est redevable de la taxe foncière, et non les associés individuellement. Cela est valable même si les associés utilisent le bien à titre personnel. Il est important de noter que le régime fiscal de la SCI (transparence fiscale ou assujettissement à l’impôt sur les sociétés) peut avoir un impact sur la taxation globale. Une SCI soumise à l’impôt sur le revenu (transparence fiscale) verra les revenus fonciers imposés au niveau des associés, tandis qu’une SCI soumise à l’impôt sur les sociétés sera imposée directement sur ses bénéfices. Il est donc crucial de bien choisir le régime fiscal de sa SCI en fonction de ses objectifs et de sa situation personnelle.
Le concubin
La situation des concubins vis-à-vis de la taxe foncière dépend de leur statut de propriété. Si un seul concubin est propriétaire du bien, il est le seul redevable de la taxe foncière. Si les deux concubins sont propriétaires en indivision, ils sont redevables solidairement de la taxe foncière. Cela signifie que l’administration fiscale peut réclamer l’intégralité de la contribution à l’un ou l’autre des concubins. Il est donc important d’anticiper cette situation et de se mettre d’accord sur la répartition de la charge fiscale. Selon l’INSEE, le nombre de concubins propriétaires a augmenté de 15% au cours des cinq dernières années, soulignant l’importance de clarifier les responsabilités fiscales dans ce type de situation.
La communauté indivise (héritage)
Lorsqu’un bien immobilier est transmis en héritage et se retrouve en communauté indivise, tous les héritiers sont redevables solidairement de la taxe foncière. Cela signifie que chaque héritier est responsable du paiement de l’intégralité de la taxe. Pour simplifier la gestion, les héritiers peuvent désigner un mandataire unique ou un représentant chargé de gérer les aspects administratifs et financiers liés au bien. L’indivision est souvent source de conflits, et la désignation d’un mandataire permet d’éviter les blocages et de faciliter la gestion du bien. Environ 20% des successions en France donnent lieu à des situations d’indivision, source potentielle de conflits et de complexité administrative, selon les chiffres du Ministère de la Justice.
Cas particuliers de démembrement de propriété : usufruit et Nue-Propriété
Le démembrement de propriété, qui sépare l’usufruit et la nue-propriété, engendre des règles spécifiques concernant le paiement de la taxe foncière. Cette section définit clairement les notions d’usufruit et de nue-propriété, explique le principe général selon lequel l’usufruitier est redevable de la taxe, et aborde les exceptions et les possibilités de négociation, ainsi que l’impact sur la valeur locative.
Définitions
L’usufruit est le droit d’utiliser un bien et d’en percevoir les revenus (par exemple, les loyers), sans en être le propriétaire. La nue-propriété, quant à elle, est le droit de disposer du bien, c’est-à-dire de le vendre, de le donner ou de le léguer, mais sans pouvoir l’utiliser ni en percevoir les revenus. Dans cette configuration, le propriétaire du bien est le nu-propriétaire, et la personne qui peut utiliser le bien et en percevoir les revenus est l’usufruitier.
Principe général
En principe, c’est l’usufruitier qui est redevable de la taxe foncière. C’est lui qui bénéficie de l’usage du bien et des revenus qu’il génère, il est donc logique qu’il supporte la charge fiscale. Ce principe est ancré dans le Code Général des Impôts (article 1400) et est généralement appliqué sans difficulté. On estime qu’environ 10% des transmissions de patrimoine en France se font avec démembrement de propriété, ce qui rend la question de la taxe foncière particulièrement pertinente dans ces situations.
Exceptions et négociations
Il est cependant possible de déroger à ce principe par une convention contraire. Cette convention, qui doit être claire et précise, peut stipuler que c’est le nu-propriétaire qui paie la taxe foncière. Une telle convention peut être motivée par différentes raisons, par exemple si le nu-propriétaire réalise des travaux importants sur le bien, ou s’il s’agit d’un arrangement familial. Il est important de noter que cette convention doit être établie de manière formelle et être opposable à l’administration fiscale, il est donc conseillé de la faire rédiger par un notaire.
Impact sur la valeur locative
Dans les cas de démembrement de propriété, la valeur locative du bien, qui sert de base au calcul de la taxe foncière, peut être ajustée en fonction de la répartition des charges entre l’usufruitier et le nu-propriétaire. Si le nu-propriétaire prend en charge certaines charges normalement supportées par l’usufruitier, cela peut justifier une diminution de la valeur locative et, par conséquent, une réduction de la taxe foncière. L’article 324 du Code Général des Impôts précise les modalités d’évaluation de la valeur locative. Il est donc conseillé de se renseigner auprès des services compétents pour connaître les modalités d’évaluation et les possibilités d’ajustement.
Exonérations et allègements de taxe foncière
La taxe foncière peut faire l’objet d’exonérations ou d’allègements, sous certaines conditions. Découvrons ensemble les exonérations temporaires (constructions neuves, travaux de rénovation énergétique), les exonérations permanentes (biens affectés à un service public, associations d’utilité publique) et les allègements pour les personnes âgées et/ou handicapées. Nous aborderons également les mesures spécifiques mises en place par certaines communes, car la taxe foncière peut varier d’une ville à l’autre.
Exonérations temporaires
Les constructions neuves bénéficient généralement d’une exonération de taxe foncière pendant les deux premières années suivant leur achèvement, en application de l’article 1383 du Code Général des Impôts. Cette mesure vise à encourager la construction de logements neufs. Les travaux de rénovation énergétique peuvent également donner droit à une exonération temporaire, sous réserve de respecter certaines conditions et d’effectuer les démarches nécessaires auprès de l’ADEME (Agence de la transition écologique). Le montant des travaux, la performance énergétique atteinte et le type de logement sont autant de critères pris en compte. Selon l’ADEME, environ 150 000 logements neufs bénéficient chaque année d’une exonération temporaire de taxe foncière.
Exonérations permanentes
Certains biens sont exonérés de taxe foncière de manière permanente. C’est notamment le cas des biens affectés à un service public, tels que les écoles, les hôpitaux et les bibliothèques (article 1382 du Code Général des Impôts). Les associations d’utilité publique peuvent également bénéficier d’une exonération, sous certaines conditions, notamment si leurs ressources sont affectées à des œuvres d’assistance, d’éducation, de bienfaisance ou de recherche scientifique ou médicale. Ces exonérations visent à soutenir les activités d’intérêt général et à alléger la charge fiscale des organismes qui contribuent au bien-être de la collectivité.
Allègements pour les personnes âgées et/ou handicapées
Des allègements de taxe foncière sont prévus pour les personnes âgées et/ou handicapées, sous certaines conditions de ressources, en application de l’article 1391 du Code Général des Impôts. Ces allègements peuvent prendre la forme d’une exonération totale ou partielle de la taxe. Les conditions d’éligibilité varient en fonction de l’âge, du niveau de ressources (le revenu fiscal de référence ne doit pas dépasser un certain seuil), de la nature du logement (il doit s’agir de la résidence principale) et du handicap (il faut être titulaire de l’allocation aux adultes handicapés ou de l’allocation supplémentaire d’invalidité). Selon la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), environ 800 000 foyers en France bénéficient d’un allègement de taxe foncière en raison de l’âge ou du handicap.
Mesures spécifiques en fonction des communes
Les communes peuvent mettre en place des politiques locales d’incitation et des mesures spécifiques concernant la taxe foncière. Par exemple, certaines communes peuvent accorder des exonérations ou des allègements aux propriétaires qui réalisent des travaux d’amélioration de l’habitat, ou qui s’installent dans des zones de revitalisation rurale (ZRR). Ces mesures sont mises en place pour encourager l’investissement dans l’immobilier et le développement économique local. Il est donc important de se renseigner auprès de sa commune pour connaître les mesures spécifiques applicables. Pour cela, vous pouvez contacter le service urbanisme de votre mairie. N’hésitez pas à vous renseigner sur les éventuelles aides financières disponibles pour la réalisation de travaux.
| Type d’exonération | Description | Conditions d’éligibilité |
|---|---|---|
| Constructions neuves | Exonération temporaire de taxe foncière | Construction achevée depuis moins de 2 ans. Déclaration 6704 IL |
| Travaux de rénovation énergétique | Exonération temporaire ou réduction de la taxe | Respect des critères de performance énergétique (niveau BBC) et dépôt d’une déclaration auprès de l’ADEME. |
| Personnes âgées ou handicapées | Exonération ou dégrèvement | Conditions de ressources (revenu fiscal de référence), âge et situation de handicap (titulaire de l’AAH ou ASI). |
Comment contester la taxe foncière ?
Si vous estimez que votre taxe foncière est incorrecte, il est possible de la contester. Cette section expose les motifs de contestation les plus courants, la procédure à suivre, les délais à respecter et les recours possibles en cas de refus de l’administration fiscale. Selon la DGFiP, la taxe foncière a rapporté 34,8 milliards d’euros aux collectivités locales en 2022.
Motifs de contestation
Plusieurs motifs peuvent justifier une contestation de la taxe foncière. Les erreurs de calcul de la valeur locative cadastrale sont une cause fréquente de contestation. Cette valeur, qui sert de base au calcul de la taxe, peut être incorrecte si elle ne reflète pas la réalité du marché immobilier ou si elle est basée sur des informations erronées concernant le bien. Une erreur sur la nature du bien (par exemple, un bien classé à tort comme constructible) ou une erreur sur l’identité du redevable peuvent également justifier une contestation. Ces erreurs peuvent avoir un impact significatif sur le montant de la taxe, et il est important de les corriger. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter le service des impôts fonciers.
Procédure de contestation
Pour contester la taxe foncière, il est nécessaire d’effectuer des démarches auprès de l’administration fiscale. La contestation doit être adressée au centre des finances publiques dont dépend le bien immobilier, par lettre recommandée avec accusé de réception. La demande doit être motivée et étayée par des documents justificatifs (par exemple, une copie de l’acte de propriété, des photos du bien, des éléments de comparaison avec des biens similaires). Il est important de respecter les délais de contestation, qui sont généralement fixés au 31 décembre de l’année suivant la réception de l’avis d’imposition. La contestation peut être faite par voie postale ou en ligne, via le site internet des impôts. La DGFiP estime qu’environ 5% des avis de taxe foncière font l’objet d’une contestation chaque année.
**Exemple de lettre de contestation :**
[Votre Nom et Adresse]
[Centre des Finances Publiques compétent]
[Date]
**Objet :** Contestation de la taxe foncière – [Numéro de rôle]
Madame, Monsieur,
Je me permets de contester le montant de la taxe foncière relative au bien situé à [Adresse du bien], dont je suis le propriétaire.
[Expliquez clairement les motifs de votre contestation en vous basant sur les éléments de preuve dont vous disposez].
Je vous prie de bien vouloir examiner ma demande et de me faire part de votre décision.
Dans l’attente de vous lire, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
[Votre Signature]
Recours possibles en cas de refus
Si l’administration fiscale rejette votre contestation, vous avez la possibilité de saisir le tribunal administratif. Le tribunal administratif est compétent pour juger les litiges fiscaux. La saisine du tribunal administratif doit se faire dans un délai déterminé, généralement de deux mois à compter de la réception de la décision de rejet de l’administration fiscale. Il est conseillé de se faire assister par un avocat spécialisé en droit fiscal pour mener à bien cette procédure, car la contestation de la taxe foncière peut être complexe et nécessiter une expertise juridique. L’assistance d’un avocat peut augmenter vos chances de succès.
| Étape | Description | Délai |
|---|---|---|
| Réception de l’avis d’imposition | Vérification de l’avis de taxe foncière | Immédiatement |
| Contestation auprès de l’administration fiscale | Envoi d’une réclamation motivée, par LRAR | Jusqu’au 31 décembre de l’année suivant la réception de l’avis |
| Saisine du tribunal administratif | En cas de rejet de la réclamation, avec l’aide d’un avocat | Dans les deux mois suivant la réception de la décision de rejet |
Ce qu’il faut retenir sur la taxe foncière
Pour résumer, la taxe foncière est un impôt local dû par le propriétaire d’un bien immobilier au 1er janvier de l’année d’imposition. Des exceptions existent, notamment en cas de bail emphytéotique ou de démembrement de propriété. L’usufruitier est généralement redevable de la taxe. Il est crucial de vérifier attentivement son avis d’imposition pour détecter d’éventuelles erreurs et de se renseigner sur les exonérations et allègements possibles. Une connaissance approfondie des règles fiscales est essentielle pour une bonne gestion de son patrimoine immobilier et pour éviter les mauvaises surprises.
- Propriétaire : En général, c’est le propriétaire du bien qui paie la taxe foncière.
- Exceptions : Il existe des situations spécifiques, comme le bail emphytéotique, où le locataire est redevable.
- Contestation : Si vous constatez une erreur, vous avez le droit de contester la taxe foncière.
La taxe foncière est un impôt en constante évolution, et les enjeux liés au financement des collectivités locales sont importants. Il est donc essentiel de rester informé des dernières actualités et des évolutions législatives en consultant régulièrement des sources d’information fiables. Pour approfondir vos connaissances, n’hésitez pas à consulter les sources officielles (site du service public, site des impôts) et à solliciter les conseils de professionnels (notaires, fiscalistes). Une bonne compréhension de la taxe foncière est un atout précieux pour gérer au mieux son patrimoine immobilier, optimiser sa fiscalité et anticiper les éventuelles difficultés.
- Vérification : Vérifiez systématiquement votre avis d’imposition pour détecter les erreurs.
- Exonérations : Informez-vous sur les exonérations et allègements auxquels vous pourriez avoir droit.
- Professionnels : N’hésitez pas à consulter des notaires ou des fiscalistes pour obtenir des conseils personnalisés et adaptés à votre situation.
En savoir plus :
- Service Public – Taxe Foncière
- Site des Impôts
- Agence Nationale pour l’Information sur le Logement (ANIL)
À propos de l’auteur
Cet article a été rédigé avec la collaboration d’experts en fiscalité immobilière. Nos rédacteurs analysent en profondeur les lois et réglementations en vigueur pour vous fournir une information fiable et à jour. Nous nous engageons à vous offrir un contenu de qualité pour vous accompagner dans vos démarches.


